Selon le type de pièces à assembler et la résistance de l’assemblage que l’on souhaite obtenir, on utilise différentes techniques.
En dessous de 220 °C, le brasage est dit tendre.
Il trouve son application en plomberie, sanitaire, zinguerie, pour la création d’une étanchéité à l’aide de joints brasés au niveau de tuyauterie d’alimentation d’eau sur laquelle ne sera pas appliqué de contraintes mécaniques fortes.
Mais aussi en électronique (circuits imprimés), en électricité (connexion de fils) ou encore en ferblanterie et en zinguerie.
Entre 780 et 800 °C, on parlera de brasage fort.
Ce procédé est utilisé pour étanchéifer ou assembler les conduites de gaz, en cuivre, offrant une bonne résistance aux contraintes mécaniques. Il permet des assemblages résistants sur cuivre, laiton, métaux ferreux, aluminium, argent, or.
Le brasage ne se fait pas sur l’acier, on parlera alors de soudobrasage.
Il permet une utilisation dans les rénovations, la modification de l’existant étant possible sans utiliser le même type de métal que l’existant.
Le cordon de soudure sera constitué du métal d’apport, enrobé, qui sera un alliage (cuivre, acier, nickel, souffre, plomb, étain, cadmium…), le choix se fera en fonction des propriétés de chacun (l’argent et le phosphore augmentent la résistance mécanique).
Entretenir sans risque son installation flamme
1. LES DETENDEURS
2. LES TUYAUX
3. LES RACCORDS RAPIDES A OBTURATEURS
4. LES ANTIRETOURS PARFLAMME
5. LES ANTIRETOURS PARFLAMME
Barème de soudage
Epaisseur à soude
Le choix du litrage bec va être déterminé par le type de joint et l’épaisseur du métal. il est nécessaire en moyenne d’utiliser 100 litres/heure de gaz par mm d’épaisseur de métal.
Exemple :